Ascain est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Frontalière avec l’Espagne au sommet de la Rhune, dernier sommet pyrénéen, situé à six kilomètres de la côte atlantique, elle est arrosée par la Nivelle, fleuve côtier qui a sa source en Navarre (Espagne) et traverse le Pays basque français, notamment la province basque traditionnelle du Labourd (capitale : Bayonne), dont fait partie la commune.

Des vestiges sur les pentes de la Rhune datent de la période protohistorique. L'époque moderne connaît des vicissitudes : en 1609, la mission de chasse aux sorcières du conseiller au Parlement de Bordeaux Pierre de Rosteguy de Lancre ; une occupation espagnole pendant la guerre de Trente Ans, en 1636-1637 ; en 1656, une guerre locale est menée par Martin de Chourio contre Jean d'Arcangues, procureur du roi.

L'époque contemporaine est marquée par la déportation d'une parti...Lire la suite

Ascain est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Frontalière avec l’Espagne au sommet de la Rhune, dernier sommet pyrénéen, situé à six kilomètres de la côte atlantique, elle est arrosée par la Nivelle, fleuve côtier qui a sa source en Navarre (Espagne) et traverse le Pays basque français, notamment la province basque traditionnelle du Labourd (capitale : Bayonne), dont fait partie la commune.

Des vestiges sur les pentes de la Rhune datent de la période protohistorique. L'époque moderne connaît des vicissitudes : en 1609, la mission de chasse aux sorcières du conseiller au Parlement de Bordeaux Pierre de Rosteguy de Lancre ; une occupation espagnole pendant la guerre de Trente Ans, en 1636-1637 ; en 1656, une guerre locale est menée par Martin de Chourio contre Jean d'Arcangues, procureur du roi.

L'époque contemporaine est marquée par la déportation d'une partie des habitants en 1794, pendant la Terreur. En 1813, des combats meurtriers ont lieu autour d'Ascain, lorsque Wellington, venant d'Espagne, envahit la France par la Rhune. Durant la Seconde Guerre mondiale, le village se distingue par sa participation active aux évasions clandestines vers l'Espagne.

Localité à l'origine agricole, aujourd'hui peuplée de 4 000 habitants qui revendique sa proximité avec la nature[pas clair] pour une superficie de 1 927 hectares, Ascain se développe principalement grâce au tourisme et aux activités de services. Elle conserve une activité autrefois renommée d'extraction et de travail de la pierre.

Plusieurs personnalités sont issues d'Ascain ou y ont vécu, notamment l'écrivain Pierre Loti qui y a écrit son roman Ramuntcho et l'homme politique Jacques Chaban-Delmas qui y est enterré. Ascain a aussi une importante équipe de pelote basque

Préhistoire

La Rhune recèle un nombre important de monuments mégalithiques, qui sont les témoins d'une activité humaine au Néolithique[JA 1]. On trouve en effet des cromlechs et des dolmens datant de l’âge du bronze et de l’âge du fer et reflétant une activité funéraire importante. La tourbière des Trois fontaines est par exemple dominée par la colline de Gorostia, où une nécropole montrant neuf cercles de pierres a été découverte au lieu-dit Aïra-Harri[JA 1],[1]. De même les deux dolmens d’Altsan s’offrent encore à la vue des promeneurs, tout comme le monolithe d’Athekalegun et celui de Gastainbakar[JA 1].

Antiquité romaine

À l'époque antérieure aux conquêtes de César (52 av. J.-C.) , la région est considérée par les Romains comme une partie de la Gaule, qu'ils nomment Aquitaine, à ce moment est délimitée au nord par la Garonne.

Après la conquête, la Gaule « chevelue » est divisée en trois provinces, la Lyonnaise (capitale : Lyon), la Belgique (Reims) et l'Aquitaine (Saintes, puis Bordeaux), qui s'étend désormais des Pyrénées à la Loire (ces trois provinces étant à part de la Narbonnaise, conquise dès 120 av. J.-C.).

Il est courant dans de nombreuses régions, et notamment au Pays basque, de parler de « voie romaine » ou de « pont romain » pour désigner des chemins et ponts anciens[2]. Dans cette région, une origine romaine ne s'appuie sur aucune source documentée et doit être considérée avec prudence[3]. Mais cela n'exclut pas que des vestiges postérieurs à l'Antiquité romaine aient repris le tracé de voies ayant existé au début de notre ère[3].

Selon l'érudit Jakes Casaubon[4] (mort en 2021), la disparition des voies romaines d'origine est due à l'action des éléments climatiques au cours des 2 000 ans qui nous séparent de leur construction[3].

Selon ce chercheur, les chemins pavés que nous connaissons aujourd'hui peuvent avoir deux origines : *soit ils sont liés à l'amélioration des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle par des communautés religieuses comme l'ordre des prémontrés, *soit ils ont été créés pour assurer le transport de minerai entre les mines et les forges ; ce dernier cas est celui d'Ascain, dont le port sur la Nivelle recevait le minerai d'Urrugne et de Biscaye, pour être traité à la forge Olazabal de Saint-Pée-sur-Nivelle.

Moyen Âge

La plus ancienne mention écrite de l'histoire d'Ascain se trouve vers 1130 dans le Livre d’Or de Bayonne à propos d’un Loup Aner d’Ascain, témoin lors d'une donation par le vicomte de Labourd, Bertrand, en faveur de l’Église de Bayonne[pas clair]. Ce personnage fait partie des conseillers du vicomte[HL 1]. Il faut attendre 1235 pour voir apparaître un Salomon de Scain, caution lors d’une cession de biens à l’Église[5],[HL 1]. La paroisse « Santa-Maria de Dascain » est mentionnée en 1341[6].

La présence d'un lieu de culte chrétien dans la localité est attesté depuis 1140 (cartulaire de Bayonne[5],[LL 1]).

C'est au XIVe siècle qu'est mentionné un seigneur d’Ascain, Martin Otxoa de Gaztelu, possesseur du palacio de Ascanio[HL 2]. Marié avec Maria Garcia de Narbart, dame d’Agorreta, il a un fils, Juan Martinez de Agorreta Ascanio, dont les armoiries (« d’or au chêne de sinople arraché de trois pièces du même, au sanglier passant sur le fût de l’arbre ; à la bordure de gueules chargée de huit croix de saint André d’or ») ont été adoptées par le conseil municipal le 26 juin 1988, sous une forme modernisée[HL 2]. Une arrière-petite-fille, Maria, épouse Philippe de Beaumont, neveu du connétable de Navarre[Qui ?].

Cette union place la maison d’Ascain du côté des Beaumont, lors de leurs conflits avec les Gramont[HL 3].

Époque moderne La mission de Pierre de Lancre (1609)

En 1609 Pierre de Lancre, conseiller au Parlement de Bordeaux depuis 1582, intervient dans la province de Labourd, à la tête d'une commission d'enquête constituée par le roi de France et de Navarre Henri IV[Note 1]. Cette commission doit « purger le pays de tous les sorciers et sorcières sous l'emprise des démons ».

Pierre de Lancre commence son enquête à Bayonne au début de juillet 1609, puis se déplace dans plusieurs localités du Labourd, notamment Saint-Pée et Ascain. Plusieurs personnes d’Ascain sont entendues comme témoins[Note 2],[HL 4].

La montagne de la Rhune est citée comme un lieu de sabbat[7].

Le curé d'Ascain, de la maison d’Harguibellea (Arguibel), est dégradé[pas clair] en l’église Saint-Esprit de Bayonne, pendu puis brûlé[8],[Note 3].

Grâce à l’intervention de l'évêque de Bayonne, Bertrand d'Eschaud, Pierre de Lancre est rappelé à Bordeaux[HL 5], sa mission s'interrompant le 1er novembre.

Occupation espagnole (1636-1637)

Ascain fut occupée durant la guerre de Trente Ans pendant une année, du 23 octobre 1636 au 26 octobre 1637, par des troupes espagnoles, ainsi que les paroisses de Saint-Jean-de-Luz, Ciboure, Biriatou, Hendaye et Urrugne[HL 5].

La guerre de Martin de Chourio (1656-1657)

En 1650, débute un conflit entre les sabelchourris (« ceintures blanches ») et les sabelgorris (« ceintures rouges »), traduisant l’opposition entre les maisons de Saint-Pée et d’Urtubie pour l'occupation de la charge de bailli du Labourd[HL 6].

En 1656, Martin de Chourio (Xurio en basque), notaire à Ascain et syndic général nommé par le biltzar[Quoi ?] du Labourd prend la tête des partisans de la maison de Saint-Pée, les Caupennes[pas clair], et s’oppose à Jean d’Arcangues, procureur du roi au bailliage du Labourd, qui soutient la maison d’Urtubie, en la personne de Salvat de Gamboa.

En représailles des sanctions disciplinaires[réf. nécessaire] décidées par Jean d'Arcangues, Chourio met son château du à sac. Recherché, il prend la tête d'une armée de 3 000 hommes, menant une guerre qui ne cesse qu’un an plus tard du fait de sa mort (naturelle) à Ascain[HL 7].

Période de la Révolution et de l'Empire La révolution de 1789 et ses suites

Les événements de 1789 ont leur origine dans la convocation en 1788 des États généraux par Louis XVI, pour la première fois depuis 1614, donnant lieu au début de 1789 à la rédaction dans chaque paroisse du royaume d'un cahier de doléances[9] et à l'élection d'un délégué à l'assemblée du Tiers état du bailliage ou de la sénéchaussée, réunie pour élire deux députés, tandis que la noblesse et le clergé élisent chacun séparément un député.

Ascain fait partie du bailliage d'Ustaritz, dont les députés élus sont le curé de Ciboure, le marquis de Caupenne et les frères Garat, avocats à Bordeaux, Dominique et Dominique-Joseph.

Les États généraux, réunis le 5 mai à Versailles, deviennent le 9 juillet l'Assemblée nationale constituante et le royaume de France devient de fait une monarchie constitutionnelle[10]. L'Assemblée, après avoir aboli tous les privilèges personnels ou locaux (4 août 1789), crée les départements, districts et communes (celles-ci correspondent aux paroisses traditionnelles).

Dans le nouveau découpage territorial mis en place en 1790, la commune d'Ascain fait partie du district d'Ustaritz, un des six[Note 4] du département des Basses-Pyrénées, dont le chef-lieu est d'abord Navarrenx, puis Pau (octobre 1790)[Note 5]. Ce district (qui inclut Bayonne) est divisé en douze cantons : Ascain fait partie du canton de Sare, ainsi qu'Ainhoa.

Le territoire de la commune d'Ascain correspond d'abord à celui de la paroisse d'Ascain. Mais quelques décennies plus tard[11], il sera augmenté d'une partie de celui de la commune de Serres, supprimée le 19 juillet 1845.

La république et la déportation de 1794

La république est établie le 21 septembre 1792 par la nouvelle assemblée constituante, la Convention, élue à la suite de la journée insurrectionnelle du 10 août, qui a abouti à la chute de Louis XVI. Les élections ont eu lieu en septembre : le département a sept députés à la Convention (dont aucun ne sera guillotiné).

Après les victoires de Valmy (20 septembre 1792) et de Jemappes (6 novembre), la République française est confrontée à partir de mars 1793 à une situation militaire[Note 6] et politique[Note 7] difficile, qui aboutit en septembre 1793 à l'établissement, sous la direction des montagnards, du gouvernement révolutionnaire et de la Terreur. Celle-ci dure jusqu'au 27 juillet 1794 (9 thermidor an II), date de la chute de Robespierre.

En mars 1794, en raison de la désertion de quarante-sept conscrits[Note 8] d'Itxassou, le Comité de salut public (arrêté du 13 ventôse an II/3 mars 1794) fait arrêter et déporter une partie des habitants (hommes, femmes et enfants) d'Ainhoa, Ascain, Espelette, Itxassou, Sare et Souraïde. Ces communes sont décrétés, ainsi que les autres communes proches de la frontière espagnole, « communes infâmes »[12]. Cette mesure est ensuite étendue à Biriatou, Cambo, Larressore, Louhossoa, Mendionde et Macaye.

Les habitants sont « réunis dans diverses maisons nationales, soit dans le district d'Ustaritz, soit dans celles de la Grande Redoute, comme de Jean-Jacques Rousseau »[13]. En réalité, ils sont regroupés dans les églises, puis déportés dans des conditions précaires à Bayonne, Capbreton, Saint-Vincent-de-Tyrosse et Ondres[Note 9], puis dans diverses localités du Lot, du Lot-et-Garonne, du Gers, des Landes, de la partie béarnaise des Basses-Pyrénées et des Hautes-Pyrénées.

Le retour des exilés et le recouvrement de leurs biens sont décidés par une série d'arrêtés pris le 29 septembre et le 1er octobre 1794, poussés dans ce sens par le directoire d'Ustaritz, qui dirige le district : « Les ci-devant communes de Sare, Itxassou, Ascain, Biriatou et Serres, dont les habitants internés il y a huit mois par mesure de sûreté générale, n'ont pas été cultivées. Les habitants qui viennent d'obtenir la liberté de se retirer dans leurs foyers, demandent à grands cris des subsistances sans qu'on puisse leur procurer les moyens de satisfaire à ce premier besoin de l'homme, la faim[14]. »

La récupération des biens ne se fait pas sans difficulté, car ils avaient été mis sous séquestre sans être enregistrés et livrés aux pillage : « Les biens, meubles et immeubles des habitants de Sare, n'ont été ni constatés ni légalement décrits ; tous nos meubles et effets mobiliers ont été enlevés et portés confusément dans les communes voisines. Au lieu de les déposer dans des lieux sûrs, on en a vendu une partie aux enchères, et une autre partie sans enchères[15]. »

L'invasion anglo-espagnole de 1813

En 1813, durant la guerre anglo-espagnole contre Napoléon Ier, les troupes commandées par le général Wellington entrent en France par la Rhune. Durant les combats qui concernent également Sare, Bera et Urrugne, 25 canons sont pointés sur Ascain du haut de la montagne[GP 1].

De ces combats autour de la Rhune, subsistent plusieurs redoutes. Ainsi la redoute d’Esnaur (aujourd'hui inscrit comme monument historique), contrôle à 273 mètres d'altitude l’accès au col de Saint-Ignace qu'elle domine[16]. Elle forme un polygone irrégulier d'une superficie de 2 200 m2. La redoute de Biskarzun, également inscrite aux monuments historiques, surplombe le bourg d’Ascain à la cote 185 mètres[17]. Plus petite que la précédente, un entassement de blocs rocheux s’élève en son milieu[pas clair][GL 1].

Époque contemporaine  La place du village avec l'église.La querelle des Inventaires (1906)

Le début du XXe siècle est marqué par l’opposition de la population d’Ascain, comme celle de nombreux villages basques, aux inventaires résultant de l’adoption de la loi de séparation des Églises et de l'État du 9 décembre 1905. Le percepteur devant faire l’inventaire des biens de l’Église se voit une première fois refuser l’entrée du village. Il revient à la charge vers la mi-mars, assisté de gendarmes et d’une compagnie du 49e régiment d'infanterie de Bayonne. Pour pouvoir entrer dans l'église, il fait enfoncer les portes à la hache[HL 8].

La Seconde Guerre mondiale

La Seconde Guerre mondiale voit le village organiser le passage de la frontière avec l’Espagne des volontaires voulant rejoindre les Forces françaises libres en Afrique ou en Grande-Bretagne. Charles Minier, maire de la commune du 30 avril 1945 au 12 juin 1946, remettra au cours de son mandat la croix de guerre avec citation au titre de la Résistance à deux des chefs du groupe clandestin à l’origine de cet acte de résistance (le secrétaire de mairie François Bertrand et le vicaire Jean Carrère[HL 9]), également salué par le général de Gaulle lors de sa visite à Ascain en septembre 1947[HL 10].


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Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Aïra-Harri Stéphane Gendron, La Toponymie des voies romaines et médiévales : Les mots des routes anciennes, Paris, Errance, mai 2006, 196 p. (ISBN 978-2-87772-332-9, BNF 40174941), p. 124-125. ↑ a b et c Jakes Casaubon, « Chemins pavés au Pays basque, fonction et chronologie », sur le site Euskonews (consulté le 10 septembre 2014). Louis de Buffières et Jean-Michel Desbordes ; Jacques Blot et Jakes Casaubon, De la voie romaine au chemin de Saint-Jacques : le franchissement du port de Cize. ↑ a et b Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Livre d'Or Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées EG Paul Sébillot, Le Folk-Lore de la France. Le ciel et la terre, Paris, 1907 (lire en ligne). Philippe Veyrin, Les Basques : de Labourd, de Soule et de Basse-Navarre, leur histoire et leurs traditions, Grenoble, Arthaud 1975, 366 p. (ISBN 978-2-7003-0038-3, BNF 34554156), page 249. La quasi-totalité des cahiers de doléances a été conservée. De droit, en septembre 1791, lorsque le roi promulgue la nouvelle constitution, qui fait de lui le « roi des Français ». Loi du 19 juillet 1845 (Bulletin des lois de la République française). Philippe Veyrin, Les Basques : de Labourd, de Soule et de Basse-Navarre, leur histoire et leurs traditions, Grenoble, Arthaud 1975, 1975, 366 p. (ISBN 978-2-7003-0038-3, BNF 34554156), page 187. Archives nationales, AF II 133/1014, citées par Manex Goyhenetche, Histoire générale du Pays basque IV : Révolution de 1789, t. 4, Donostia / Bayonne, Elkarlanean, 2002, 432 p. (ISBN 2913156460 et 9782913156463, OCLC 492295167), p. 300. Archives nationales, F11/394, 18 vendémiaire an III (9 octobre 1794), citées par Manex Goyhenetche, Histoire générale du Pays basque IV : Révolution de 1789, t. 4, Donostia / Bayonne, Elkarlanean, 2002, 432 p. (ISBN 2913156460 et 9782913156463, OCLC 492295167), p. 309. Bulletin de la Société des sciences, lettres et arts de Bayonne, année 1935, pages 67 à 70, et Les paroisses du Pays basque, page 263, Gure Herria, années 1930-1932 - Sources citées par Manex Goyhenetche, Histoire générale du Pays basque IV : Révolution de 1789, t. 4, Donostia / Bayonne, Elkarlanean, 2002, 432 p. (ISBN 2913156460 et 9782913156463, OCLC 492295167), p. 310. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Esnaur Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Biscarzoun


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Photographies by:
Jean Michel Etchecolonea - CC BY-SA 3.0
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